Asimov's Mule

Has the world changed? In 1941, FDR and top military brass knew weeks in advance of an impending Japanese attack upon Pearl Harbor, but commanders at Pearl were not informed. In the 1960s, there was the Gulf of Tonkin incident, where by way of US propaganda, it was said that the North Vietnamese bombed a US ship, which as we came to find did not really happen. In 1933, Hitler became Chancellor of Germany following those who died in the Reichstag fire, and in 1939, led in staging a Polish attack against Germany, launching the Germans into their first aggression, later to be collectively known as World War II. In 2001, inside elements of the US, Israel and Great Britain created a false flag attack against the United States, as conducted by modern-day “sand Poles”. Through all of this, the one major distinction that appears to me is that of the emerging network of networks; the decentralized and uncontrolled internet.

I believe the role of the Internet altogether to be directly analogous to a character from a series of books know as "Foundation" (1950), by Isaac Asimov. In his story, Asimov paints the picture of an established society where science has developed the ability to calculate any and all of the variables, and to then be able to definitively say where one would be, for example, next Wednesday at 8 AM. It gives them total control.

One central character in the Foundation series is "the Mule". As a human with the head of a mule, he is an incalculable mutation. Society's scientists experience problems with their ability to determine, at any time, his causal chains. The Mule includes variables within himself that defy the scientist’s capacity to calculate his next move. He relishes in his ability to go where he pleases, when he pleases, and without detection.

Where established powers are incapable of predicting what it will produce next, I find the Internet itself to be perfectly analogous to Asimov's Mule. I find contemporary developments in population statistics, such as; over half the US knowing that something is wrong with the 911 Commission, with this administration’s failure – led by Cheney – to gain entry into Iran in spite of such extensive efforts to achieve that end, or by way of something as simple as the new political model created by the Howard Dean campaign of 2004, to only be possible by way of an uncontrolled information agency. Meanwhile, in China, where by way of total internet control, the students of Beijing University don’t even know what happened in their own Tiananmen Square. The internet is a new infrastructure for the people, and it has been serving the people’s needs in ways that no traditional channels of information have even dared. God bless the internet; may it forever be free!

And congratulations to: http://savetheinternet.com

Cheers –
Mark

Cooperative Assembly
PinfoNet

Sorry, it's 5:15, and I just

Sorry, it's 5:15, and I just got it onto my Coop Assembly blog. I think I did that backwards.

Asimov's Mule

The internet undermines too much powers to be. They will closeit

John A MITCHELL
Herblay France

bonjour ,

I agree with you and so much so I am very attentive on how the powers to be are going to close down the internet as we know it; free Do not forget the control of the internet was planned in the PNAC document long before 2001.

The article below which appeared yesterday in the national newspaper Lilbération could be a first sign on how they are going to do it. An internaut posted defamatory accusations against the pdf of internet FREE on the forum of the newspaper Liberation. The pdg at the time of the infraction is held responsible for these accusations being on his forum. So if the responsibles of internet forums do not want to have the same treatment as Vittorio de Filippis censor a maximum the entries and if is takes too much time close down the forum. The article in Liberation does not explain that the problem comes from an internaut’s comments on the forum so I put a second article °2 at the end. The national TV last night talked about it being the fault of the internaut’s comments. You can find other references on the following Google search

http://www.google.fr/search?hl=fr&client=firefox-a&channel=s&rls=org.moz...

Sorry for not having a french translation into english, perhaps some one will post one for us ?

Yours

John

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Un ex-PDG de Libération brutalement interpellé à son domicile - Tout... http://www.liberation.fr/medias/0101269634-un-ex-pdg-de-liberation-...
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Médias 28 nov. 15h51 (mise à jour à 19h35)
Un ex-PDG de Libération brutalement interpellé à
son domicile
RECIT
Du jamais vu dans une affaire de presse: le journaliste Vittorio de Filippis, qui a été directeur de la publication
de Libération de mai à décembre 2006, a été interpellé à son domicile pour une banale affaire de diffamation.
Récit.
Recueilli par Eliane Patriarca
Quand il arrive dans les locaux de Libération, ce vendredi peu avant midi, il a encore la trace des menottes au
poignet. Journaliste économique, actuellement membre de la direction du journal, Vittorio de Filippis a été
PDG et directeur de la publication du journal de mai à décembre 2006. Il vient de passer plusieurs heures,
d’abord au commissariat de police du Raincy (Seine-Saint-Denis), la commune où il réside, et plus tard dans la
matinée de ce vendredi au tribunal de grande instance de Paris. Avant d’être mis en examen. Il est pâle,
fatigué, outré.
«J’ai été réveillé vers 6h40 ce matin par des coups frappés sur la porte d’entrée de ma maison, raconte-t-il. Je
suis descendu ouvrir et me suis trouvé face à trois policiers, deux hommes et une femme portant des brassards,
et j’ai aperçu dans la rue une voiture de police avec un autre policier à l’intérieur.»
Les représentants de l’ordre lui disent qu’ils ont un mandat d’amener au TGI de Paris contre lui. «J’imagine
tout de suite que cela concerne la période de cogérance durant laquelle j’ai été PDG et directeur de
publication de Libération en 2006, et je pense à l’affaire Xavier Niel, du nom du fondateur de Free, le
fournisseur d’accès à Internet, parce que c’est tout simplement l’affaire la plus récurrente parmi toutes celles
dont j’ai eu à répondre comme directeur de publication. Et celle qui a suscité le plus de contacts avec le s
avocats de Libération, Jean-Paul Lévy et Emmanuel Soussen.»
Xavier Niel a déjà attaqué plusieurs fois en diffamation Libération et le journaliste Renaud Lecadre, auteur
d’articles dans le quotidien et sur le site liberation.fr, évoquant les démêlés judiciaires du fondateur de Free.
Vittorio de Filippis a chaque fois été convoqué par la justice car sa responsabilité est engagée: l’article 42 de la
loi sur la presse du 29 juillet 1881 dispose que le directeur de publication d’un journal est «l’auteur principal»
du délit de diffamation publique envers un particulier alors que le journaliste auteur du papier incriminé n’est
que «complice».
Mais Xavier Niel et la société Free ont été déboutés systématiquement, lors de procès qui se sont tenus au
deuxième trimestre 2008. A chaque fois, ils ont en plus été condamnés à verser des dommages et intérêts à
Libération pour procédures abusives.
Ce matin, le ton est vite monté entre les policiers et le journaliste, celui-ci leur faisant remarquer qu’ils ont
profité de son portail sans serrure pour pénétrer chez lui.
«Habillez-vous, on vous emmène», répliquent-ils en lui interdisant de toucher à son portable dont
l’alarme-réveil se déclenche. «Je commence à m’énerver, raconte Vittorio de Filippis. Réveillé par le bruit,
mon fils aîné, qui a 14 ans, assiste à toute la scène. Son frère, 10 ans, ne sort pas de sa chambre mais
j’apprendrai par la suite qu’il était réveillé et a très mal vécu ce moment… Je dis aux flics qu’il y a peut-être
d’autres manières de se comporter. Réponse devant mon fils: «Vous, vous êtes pire que la racaille!» J’ai juste
le temps de rassurer mon fils, de lui dire que je ne suis pas un malfrat et que tout cela concerne le journal et
qu’il est en train d’assister à une injustice. Je lui demande, en l’absence de ma femme qui est en déplace ment,
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d’accompagner son frère à l’école et d’aller lui aussi en cours.»
Les policiers emmènent le journaliste au commissariat du Raincy.
7h10. Au commissariat, des policiers lui lisent les motifs de son interpellation. C’est bien de l’affaire Niel dont
il s’agit et particulièrement d’un article du journaliste Renaud Lecadre paru sur le site liberation.fr. Après
lecture du document, Vittorio de Filippis demande à plusieurs reprises la présence des avocats du journal.
Réponse: «Ils ne seront pas là.» Vittorio De Filippis refuse alors de signer quoi que ce soit. «Je suis assis sur
un banc, boulonné au sol, dont pendent plusieurs paires de menottes. Face à moi, affichée au mur, la Chart e
d’accueil du commissariat».
D’autres policiers demandent au journaliste de vider ses poches. Il s’exécute.
7h30. Trois policiers viennent le chercher, lui demandent de mettre les mains dans le dos et le menottent. Puis
ils le conduisent à une voiture et prennent l’autoroute A86. Dans la voiture, les policiers se réjouissent de
pouvoir «voir en vrai les bureaux de Navarro».
8h30. Vittorio de Filippis est emmené dans les sous-sols du TGI au dépôt, «quartier des hommes».
«On contrôle mon identité puis on m’emmène dans une pièce glauque, avec un comptoir en béton derrière
lequel se trouvent trois policiers dont un avec des gants, précise Vittorio de Filippis. Derrière eux, un mur de
casiers qui contiennent les effets des personnes «en transit». On me demande de vider mes poches, puis de me
déshabiller. Dans mes papiers d’identité, ils isolent ma carte de presse et la mentionnent dans l’inventaire de
mes effets. A aucun moment, jusqu’alors, je n’avais mentionné ma qualité de journaliste».
«Je me retrouve en slip devant eux, ils refouillent mes vêtements, puis me demandent de baisser mon slip, de
me tourner et de tousser trois fois.»
Le journaliste s’exécute puis se rhabille, mais on lui a retiré ses lacets, sa ceinture, la batterie de son portable.
et tous ses papiers et effets.
9h30. Les policiers l’accompagnent dans une cellule «qu’ils referment à triple tour».
«La pièce comporte une table, un rouleau de papier hygiénique, une paillasse en béton sur laquelle sont
posées deux couvertures. Dans un recoin, j’aperçois un WC. Je m’asseois sur la table pour éviter les cafards
et les mites.»
10 heures. Deux gendarmes viennent le chercher, et l’isolent à nouveau derrière un paravent en béton qui se
trouve dans le long couloir bordé de cellules.
Ils lui demandent de se déshabiller complètement.
«Je signale alors que j’ai déjà été fouillé d’une manière un peu humiliante deux heures plus tôt et je ref use de
baisser mon slip à nouveau. Bien que comprenant l’absurdité de la situation et mon énervement, ils me
répondent que c’est la procédure et qu’ils doivent appeler la juge devant mon refus. Celle-ci leur répond que
soit je respecte la procédure et dans ce cas-là elle m’auditionnera et je serai libéré; soit j’assume mes actes».
Le journaliste accepte donc de se laisser fouiller à nouveau, de baisser son slip, de se tourner et de tousser.
Rhabillé, il est menotté «mais cette fois avec les mains devant», et escorté par les gendarmes dans les couloirs
interminables du TGI, jusqu’au bureau de la juge Muriel Josié, vice-présidente du tribunal de grande instance
de Paris.
10 h 40. Dans le bureau de la juge, les gendarmes lui retirent les menottes. La juge, qui «au départ», selon
Vittorio de Filipis, «a l’air un peu gêné», lui signifie qu’elle l’a convoqué parce qu’elle a déjà procédé à de
nombreuses convocations par courrier dans le cadre de l’affaire Niel et qu’il a toujours été «injoignable».
Le journaliste lui répond alors que, comme pour chacune des affaires qui concernent des articles écrits par des
journalistes de Libération, il transmet les courriers aux avocats du journal. Et il demande alors à parler à
ceux-ci.
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«La juge me demande leur adresse, puis me lit une liste d’adresses d’avocats dans laquelle j’identifie celles de
nos avocats».
Puis Vittorio de Filippis refuse de répondre à toute autre question. La juge s’énerve, hausse le ton. Mais, en
l’absence de ses avocats, le journaliste refuse tout échange verbal avec elle.
La juge lui fait signer le procès-verbal de l’entretien et lui notifie sa mise en examen pour «diffamation». Elle
lui demande s’il sera joignable d’ici à la fin du mois de décembre.
Ensuite, les deux gendarmes reconduisent Vittorio de Filipis à travers les méandres des couloirs du TGI —
«mais cette fois je ne suis plus menotté». Ils lui rendent ses papiers et ses effets. Et le libèrent.
11h30. Sur le trottoir devant le TGI, Vittorio de Fillipis appelle immédiatement les avocats du journal et la
direction de Libération.
Aussitôt informée, la Société civile des personnels de Libération (SCPL, actionnaire du journal) dénonce, dans
un communiqué, «ces méthodes inadmissibles». «La SCPL veut manifester sa solidarité vis à vis de Vittorio de
Filippis, écrit-elle. Nous protestons auprès des autorités politiques et judiciaires. Nous demandons qu'une
enquête soit ouverte sans délais sur ces méthodes.»
L’un des avocats de Libération, Me Jean-Paul Levy, dénonce les conditions de cette interpellation, «une
première», selon lui, en matière de délit de presse. «Je suis l’avocat de Libération depuis 1975 et c’est la
première fois que je vois un directeur de publication faire l’objet d’une interpellation et d’un mandat
d’amener», déplore-t-il. «Je suis scandalisé que l’on inflige un tel traitement pour un délit qui n’est pas
passible de prison».
La Société des lecteurs de Libération (SLL), «scandalisée par les méthodes employées par la police judiciaire
et la magistrature dans une affaire de presse», s'associe à l'indignation et à la protestation de l'équipe.
Laurent Joffrin, PDG du journal et directeur de la rédaction, s'exprimera demain samedi dans la page
consacrée par le quotidien à cette arrestation, sans précédent dans les annales judiciaires.

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http://www.lavoixdunord.fr/France_Monde/actualite/Secteur_France_Monde/2...

« Libération » : polémique autour de l'interpellation de Filippis

L'interpellation musclée de l'ex-directeur de la publication de Libération, Vittorio de Filippis, contre qui avait été délivré un mandat d'amener dans une banale affaire de diffamation, une « première » selon l'avocat du quotidien, suscite l'indignation dans les partis politiques, la presse, et au sein des centrales syndicales professionnelles, notamment.

Aujourd'hui directeur du développement du journal, Vittorio de Filippis a été interpellé à son domicile du Raincy (Seine-Saint-Denis) vendredi vers 6 h 30 par des policiers qui l'ont conduit au commissariat. Il a été mis en examen pour « diffamation publique » envers Xavier Niel, fondateur du fournisseur d'accès Internet Free, après la parution en 2006 sur le site Internet du quotidien d'un commentaire d'un internaute faisant suite à un article du journaliste Renaud Lecadre faisant état des démêlés judiciaires de Xavier Niel.

Sur le site du journal, Filippis affirme avoir été arrêté sans ménagement et insulté devant l'un de ses deux jeunes fils, restés seuls alors qu'il était emmené. De source policière, on affirmait hier qu'il aurait « pris de haut » les policiers « irréprochables » venus l'interpeller sur ordre de la juge qui avait délivré un mandat d'amener, Vottorio de Filippis n'ayant pas répondu à une convocation. •