"Onze Bouge" Paris 11th July 2007 (Eleventh of each month as in America. )

John MITCHELL
Herblay FRANCE
mouv4x8@club-internet.fr

Hoping you will be hundreds at the William Rodriguez conference this 11 July at Paris, 20 hours, 24 rue de la Banque organised by
http://www.reopen911.info/11-septembre/le-11-juillet-2007reopen911-invite-william-rodriguez/

If anyone wants the below image in form of a flyover pdf file (A4 ou A3) contact me at the above address so that I can send you a copy. (The file 1.4 mega is too large for blogger911)

Yours

John

Bravo à toute l'équipe

qui a organisé cette rencontre. Salutations du Québec.

Drummerboy
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You can't hide a lie for long. Truth shall come out.

William Rodriguez will come to Paris 11 July invited byReOpen911

Sorry for the late reply.

Le 11 juillet 2007 William Rodriguez viendra à Paris, invité par ReOpen911 (20h 24 rue de la Banque place de la Bourse).

organisé par
http://www.reopen911.info/11-septembre/le-11-juillet-2007-william-rodrig...

Yours

John

We were honoured with William Rodriguez's presence

John MITCHELL
Herblay FRANCE
mouv4x8@club-internet.fr

Bonjour ,
We were honoured by the presence of William Rodriguez this Wednesday night the 11th of July 2007. A conference which went very well even though there was not enough sitting place for everyone. A lot sat on the floor.
Timewise I am in the impossibility to write a compte-rendu of that evening but I did find on the net two very good ones ( Sorry in French). The first by WOLFI at
http://www.signs-of-the-times.org/signs/fr/forum/viewtopic.php?pid=488#p488
and the second one on the same forum by JOEL
http://www.signs-of-the-times.org/signs/fr/forum/viewtopic.php?pid=524#p524
At the end of this email I am copy the text just in case the link fails to http://www.signs-of-the-times.org

While waiting to find better photos I am putting up the best three that I have.

This evening was our 2nd Paris’s Onze Bouge action ( every 11the of the month) action for the 911 truth. (911 truth will bring us peace in Afghanistan and Iraq !). If you are living or passing by Paris the 11th of August (Saturday ) do join in on the 911 truth actions. Look up the site
http://www.reopen911.info/
for the latest information on our next Onze Bouge.

Yours John

Compte rendu
http://www.signs-of-the-times.org/signs/fr/forum/viewtopic.php?pid=524#p524

http://www.signs-of-the-times.org/signs/fr/forum/viewtopic.php?pid=488#p488

Après l'excellent compte-rendu réalisé par Wolfie, voici donc mon petit témoignage concernant cette soirée. Après bien des déboires pour me retrouver d'abord au coeur de Paris dans le quartier de la Place de la Bourse (le nordiste campagnard que je suis n'étant pas trop habitué à affronter un tel traffic) et cette jungle de sens uniques, je suis arrivé au lieu de la conférence à huit heures pile, un peu essoufflé mais à l'heure.

La première chose que je remarquais fut la drôle de configuration de la salle (en L) puis la deuxième que toutes les places assises étaient prises. Afin de ne pas pouvoir être gêné pour prendre des photos, je choisis de rester debout derrière la dernière rangée de chaises. Alors effectivement, en attendant que les choses sérieuses commencent enfin, on fait comme Wolfie, on s'amuse à regarder qui est présent, à compter le nombre de maillots estampillés ReOpen911, à chercher qui pourrait se dissimuler derrière le gars des RG ou encore à éventuellement reconnaître une personnalité connue comme Thierry Meyssan. Mais non, je ne reconnais personne. Je note toutefois sur la gauche de William Rodriguez la présence dans l'assistance d'un photographe prenant rapidement des notes. S'il s'agit d'un journaliste, je me demande bien pour le compte de quel média.

Atmoh, le responsable de ReOpen911.com, commence à prendre la parole avec une certaine aisance. Je suppose qu'il devait avoir un certain trac devant ces 100 à 150 personnes et ces caméras qui commençaient déjà à filmer mais il s'en est remarquablement bien sorti. Après cette introduction pour présenter rapidement William Rodriguez, le "phénomène" en question est arrivé tout sourire. En fait, il attendait juste depuis 4-5 minutes dans l'angle à l'entrée de la pièce et, l'ayant immédiatement reconnu, j'esquissais un petit sourire devant ces personnes qui écoutaient Atmoh et qui avaient juste dans leur dos William Rodriguez.

Atmoh et son acolyte (à mon avis, il devait s'agir non pas de l'éditeur de "Demi-Lune" mais du responsable de la boutique qui vend les maillots ReOpen911.) ayant terminé, c'est au tour de William de commencer sa partie et ce qu'il faut bien appeler un véritable Show. J'avais déjà visionné sur Internet sa vidéo-conférence avec Alex Jones et j'avais été agréablement surpris par sa prestance et son charisme. Je n'allais donc pas être vraiment étonné de ce qui allait suivre, autant sur le fond que sur la forme. Pour le fond, je ne n'y reviendrai pas car Wolfie s'en est déjà très bien occupé dans un post précédent. J'insisterai juste sur deux choses. L'une concerne le remarquable travail du traducteur au demeurant fort sympathique également. L'autre concerne à la fois la simplicité et l'incroyable talent de communicateur de William R. Je retiendrai surtout ses taquinades à l'égard du traducteur qui commettait parfois quelques petites confusions (ex avec le personnel de Windows qui n'avait rien à voir avec la société de Bill Gates) mais qui le prenait d'ailleurs fort bien, sa petite tape amicale sur Atmoh dont l'attention commençait à décliner, ou encore les prises à partie avec les personnes assises à ses pieds. Tout cela constituait autant de moments agréables et qui tombaient bien à propos malgré l'évocation de tous les évènements dramatiques de cette journée du 11 septembre.

William a également expliqué qu'avant le 11 septembre qu'il n'était pas spécialement croyant. "Agnostic !" a-t-il répété à plusieurs reprises en pointant du doigt le ciel pour mieux faire comprendre à son public l'invraisemblable suite de circonstances quasi-miraculeuses qui lui ont permis d'arriver là où il en est aujourd'hui.

Sur le fond, je soulèverai tout de même un point : William Rodriguez a bien insisté au début de sa conférence qu'avant l'avion ne vienne percuter la tour, il avait bien entendu une explosion venant du dessous alors qu'il se trouvait au sous-sol. D'autres témoins bien identifiés ont confirmé sa version mais bien entendu, la Commission d'enquête du 911 a fait la sourde oreille. Je soupçonne Atmoh d'avoir questionné William sur ce point juste avant la conférence et ceci pour répondre aux petits malins sceptiques qui interviennent sur le forum du site ReOpen911.com et qui mettaient en doute cette version.

A l'issue de la conférence, j'ai eu le bonheur de serrer 3 fois la main de ce grand monsieur (j'ai compté ! smile), de bafouiller quelques mots (bravo, merci pour ce que vous faites, etc...), de me faire signer une dédicace pour le DVD acheté et de reprendre quelques photos. Compte tenu qu'il y avait quelques 250 km de route pour rentrer chez moi, je n'ai malheureusement pas pu rester plus longtemps pour discuter avec quelques personnes du public. J'aurais bien voulu discuter avec Atmoh pour le féliciter chaleureusement, sans oublier toute l'équipe de ReOpen911 qui effectue un travail extraordinaire pour essayer de sensibiliser un plus large public aux dessous cachés du 11 septembre, mais il était à ce moment en pleine discussion.

J'ai eu juste le temps de tendre une oreille indiscrète sur ce que disait ce monsieur d'un certain âge convaincu que Bush n'était que le larbin d'Israël et qu'il fallait trouver chez eux les véritables commanditaires et principaux exécuteurs du complot. Une thèse qui me rappelle celle que prône Laura Knight-Jadczyk (et les Cassiopéens) dans son livre "Ces Mondes qui nous gouvernent". Ce qui n'exclut pas bien entendu la participation active des services secrets d'autres pays comme le Pakistan, la Grande-Bretagne et en premier lieu les USA. Alors évidemment, j'ai bien vu la mine embarassée d'Atmoh à l'évocation de cette thèse et je comprends tout à fait sa réaction. Le terrorisme intellectuel des sionistes pro-israéliens est d'une telle ampleur en France qu'une association comme ReOpen911, visible et de plus en plus connue des médias officiels, ne peut se permettre d'affronter la bronca qui en résulterait. Vous imaginez les réactions : "Ah ! On vous l'avait bien dit que ces théoriciens du complot étaient avant tout des antisémites !" Sans parler des réactions barbouzardes de la LDJ ou du Bétar...

Voilà voilà, c'était ma petite contribution pour évoquer cette rencontre peu ordinaire du 11 juillet 2007 à Paris avec un homme qui l'est encore moins. Je dirais même plus : un homme d'exception !

Quelques photos-souvenirs maintenant :

Voici le compte-rendu que je vous ai rédigé cette nuit de l'exceptionnelle soirée que nous avons vécue :

This could be the day, for us to see... what day it is… Calvin Russel (Soldier)

Bonsoir à tous,

C’est les larmes aux yeux que j’entreprends de vous parler de la rencontre de William Rodriguez ce soir.

Voici la courte histoire de cette soirée, que je vous écris du RER, à près de minuit.

Un peu plus tôt, vers 19h45, j’arrive sur le trottoir devant le 24, rue de la Banque. C’est tout à côté de la Bourse. Ironie : William nous dira un peu plus tard qu’on a délibérément menti aux volontaires qui ont aidé à déblayer les décombres du WTC sur la dangerosité des résidus qu’ils respiraient, et cela pour rouvrir au plus vite Wall Street. Ah dégoût sidéral, cette fois-ci c'est de rage que je pleure !

Le 24, rue de la Banque c’est, vous savez, l’immeuble squatté, le ministère du Droit au Logement… Enfin bon, moi je découvre tout ça, c’est pas des lieux que je fréquente d’ordinaire – sûrement pas assez. Tout ce que je sais, c’est que là ça n’a rien coûté aux gens de Reopen, les organisateurs (http:\\www.ReOpen911.info.) Manifestement, dire la vérité sur le 11 septembre, ça ne rapporte pas un rond. Je pense un instant à l’amie que j’ai invitée à venir, en lui disant de rameuter ses connaissances. Si elle se pointe, accompagnée qui plus est, elle va peut-être faire une drôle de tête. Je souris. Qu’importe : la vérité n’a rien de luxueux. La soirée, elle, est très belle, éclairée. Le froid du matin semble loin. Une vingtaine de personnes poireaute dehors. Avec mon costard cravate, je fais tâche. J’observe les visages, les attitudes. Il y a là une dame qui porte le foulard, accompagnée de sa fille. Je pense avec tristesse aux musulmans, à leur rage d’être ainsi instrumentalisés. Je croise quelques regards. Je suis sûrement spotté comme le mec des RG. Ça me fait rire intérieurement. Quelques-uns sont ouvertement ReOpen, avec un Tshirt noir marqué à leurs couleurs ( ! )

Enfin on entre. Après une petite entrée, puis un court escalier, nous sommes conduits au premier étage. Cinquante chaises, tout au plus, sont disposées en forme de L. Au point d’intersection, une simple table. Je choisis une chaise au deuxième rang, contre un mur. La salle se remplit lentement, mais constamment. Bientôt, plus de places assises. Ça continue à arriver. Quand Atmos prend la parole, assis sur la table avec quelques autres ReOpenistes, j’estime à 150 le nombre de personnes présentes. Confidentiel. Mais la salle est comble. Plein de monde est assis par terre. Après la présentation de ReOpen par Atmos (pseudo) et Demi-Lune (ses yeux ! à ce nouvel éditeur courageux…) William arrive enfin.

La simplicité même. Dire que cet homme était technicien de surface au WTC. Il nettoyait quotidiennement 110 étages des escaliers. Il se montrera ce soir homme, un vrai, plein de courage et d’émotion (des larmes vraies, non feintes, en pensant à ses amis laissés derrière lui au Windows…) En en parlant plus tard sur le trottoir (il est près de 23h), un homme dira : « Voilà un Homme d’Etat. Et dire que la société place ces hommes à nettoyer les escaliers. Tandis que les soi-disant élites… »

Il raconte…

L’assemblée est saisie d’émotion. Le traducteur est excellent.

Il raconte qu’il est arrivé en retard le 11 septembre, à son travail au WTC. Il voulait prendre une journée de congés. C’est son responsable qui ne veut pas : « Sois-là : personne pour te remplacer ! » Il arrive. Sous-sol, niveau –2, son responsable et lui échangent quelques mots à la porte des locaux de la société. Une explosion. 7 secondes après, le choc de l’avion, plus haut. Un homme arrive : « Explosion ! Explosion ! » Les bras jetés devant lui, William l’observe avec une horreur croissante : de ses doigts pend la peau de ses bras, retroussée comme un gant. Un morceau de son visage pendouille sur le côté de sa face. Sa chemise, qu’on a crue rouge un instant, est imbibée de son sang. Elle était blanche. Ni une ni deux, William, qui pense qu’un générateur a explosé au niveau du dessous, l’enrobe d’un tissu, le place sur ses épaules, enjoint les autres de le suivre : 14 suivront, qu’il mettra à l’abri, sur le parvis. Il pense à ses amis, au Windows, au sommet de la tour. Il part les chercher. « Reste ! » lui crie-t-on. Il ignore les avertissements. Il va au PC de crise à la tour Sud. Il frappe à la vitre : personne ! (Dire qu’il devait être actif 7j/7 24h/24) Au Marriott hôtel, entre les deux tours, une employée tremble ; elle ne veut pas partir, de peur de perdre son job. Il l’évacue manu militari. Il revient. Aux ascenseurs, il entend des cris : « A l’aide ! Nous nous noyons ! » L’eau des sprinklers anti-incendie se déverse dans la cage de l’ascenseur de service. Deux hommes l’ont emprunté, voulant fuir. Au lieu de monter, il est descendu. Maintenant, bloqué, sans courant, l’eau remplit la cage plus vite qu’elle ne se vide. William, agnostique, crie « Dieu ! Aide-moi ! » Il trouve un tube de métal, ouvre les battants des portes. L’eau s’engouffre de plus belle, les cris redoublent. A nouveau « Dieu ! Aide-moi ! » Il faut une échelle pour descendre. Il en trouve, miraculeusement, une. Il aide les hommes à sortir. Puis il revient à nouveau. Trouve les pompiers : « Ce gars là connaît les lieux, suivez-le » Il monte les étages, les pompiers suant à ses trousses avec leurs 60 kg d’équipement. Avec l’un des seuls cinq passes de la tour, qui est en sa possession (longue histoire ! Il nous montre la clé, qu’il a sur lui. Il la donnera au musée de Ground Zero, quand il sera construit), il ouvre les étages jusqu’au 33ème. Les foules se déversent dans les escaliers par les portes qu’il ouvre, gênant la progression des pompiers. Au 33ème, une femme en état de choc. Il la descend. Remonte. Il pense à ses amis, tout en haut. Il veut les atteindre. La peur le saisit au 33ème. Le 34ème est vide. Il entend comme une pelle qui gratte le sol sur toute la longueur de l’étage. Puis paf ! paf ! paf ! paf ! paf ! une succession d’explosions : au dessus de lui, les étages s’écroulent, du 65ème au 44ème. Il passe le 34ème sans l’ouvrir, scellant son mystère à jamais ? Un policier lui enjoint de descendre un handicapé du 27ème. Lorsqu’il le descend, il entend la tour Sud s’effondrer, pourtant frappée après la tour Nord. La tour Nord vacille sous ses pieds. Dans le lobby, spectacle de destruction, tous les marbres luxueux effondrés. Les portes des ascenseurs baillent par le bas, signe qu’ils ont été soufflés, non du haut, mais du bas ! Dehors, les policiers qui ont bouclé le secteur lui crient : « Ne regarde pas derrière-toi ! » Bien sûr, il regarde. Voit les corps entassés de ceux qui se sont jetés par les fenêtres, difformes, non reconnaissables. Une seule personne est reconnaissable : la femme du 33ème, qu’il a descendue. Coupée en deux dehors par une fenêtre qui tombait. La tour Nord commence à s’effondrer. Il pense qu’il va être pris dessous. Court. Saute sous un camion de pompiers. La poussière soufflée le bloque bientôt. Il pense à se relaxer dans sa poche de poussière, sa chemise sur le nez pour se protéger, en attendant… de l’aide ? Non, la mort. Mais CNN l’a vu. Le secteur fait l’objet de recherches actives. Il est dégagé : indemne. Cinq minutes après, les pneus du camion sous lequel il était explosent. A cinq minutes près, il était écrasé dessous. Un journaliste s’approche de lui : il a trente secondes pour raconter son histoire. Ce qu’il fait. De manière incohérente. Plus tard dans la journée, il racontera toute son histoire au même journaliste. Ce témoignage, jamais il ne sera diffusé. Seul ses mots incohérents restent sur le site de CNN. Heureusement, deux stagiaires de CNN lui font passer la cassette originale plusieurs mois après. Elle est aujourd’hui disponible.

William sera reconnu héros national, ayant sauvé des centaines de vies humaines.

On lui offrira de devenir politique, pour attirer 30 millions de voix hispanophones.

Ce qu’il raconte aujourd’hui, c’est pour la vérité. Pas pour la notoriété : il l’a déjà. Pas pour l’argent ! Il refusera de vendre son histoire à l’industrie du cinéma. Il y a deux ans, il vivait sous les ponts. Pourtant, il se donne sans compter pour les victimes. Il les représente. Fait passer des lois au Sénat. Demande une commission d’enquête (comment il raconte la démission de Kissinger !). L’obtient : ce sera la commission officielle d’enquête sur le 11 septembre. Mais son témoignage sera reçu à huis clôt. Le seul à l’être ainsi. Non diffusé, non retenu. Les 27 témoins qu’il a nommés ne sont pas convoqués. L’affaire de la contamination massive des volontaires et des riverains aux poussières d’amiante, de béton et de verre, est étouffée. Il obtiendra par voie de justice que l’EPA (l’Agence de l’Environnement américaine) reconnaisse les taux de nocivité.

Aujourd’hui, il se définit comme activiste pour la vérité : « Ce qu’on nous raconte sur le 11 septembre n’est pas la vérité. Ne voyez-vous pas comment on vous a vendu une histoire qui est un programme politique pour diaboliser les musulmans et justifier une guerre meurtrière en Afghanistan, puis en Irak, et la réduction drastique, terrifiante, des libertés civiques dans de très nombreux pays. Refusez cela pour le vôtre. »

L’assistance est bouleversée.

La soirée se termine alors que chacun vient le trouver pour l’embrasser, le féliciter, donner un billet de cinq, dix, vingt euros, (chacun selon ses moyens et ce qu’il/elle veut/peut) en échange du DVD de son témoignage (la fameuse cassette originale…) orné d’un autographe « Thank you for coming, William Rodriguez »

Period.